
À l’issue d’un atelier tenu du 6 au 8 mai, l’organisation dénonce l’absence de stratégie durable, malgré la récurrence des catastrophes naturelles et les alertes émises par les services spécialisés.
Les dispositifs de prévention sont jugés insuffisants et mal coordonnés, notamment le Comité de Prévention et de Gestion des Inondations, qualifié de structure inactive et inadaptée.
Selon Abba Daoud NANDJEDE leader de l’ADHET, le Tchad, classé parmi les pays les plus vulnérables au changement climatique, reste sans plan réel d’adaptation. Infrastructures de drainage, relocalisation durable ou systèmes d’alerte efficaces manquent cruellement.
L’organisation appelle à un sursaut institutionnel et citoyen pour éviter que chaque crise environnementale ne se transforme en tragédie nationale.